Mon oreiller
Un amour comme le nôtre, il n’y en pas deux dans cette vie. Même si l’on cherche, même s'il se cache.
Tu dors avec moi toutes les nuits. Tu restes en silence sans aucun reproche. Pour cette raison je t’aime, je t’adore: Tu es ma vie, mon seul trésor.
Parfois je rentre comme enivré d’angoisse. Je te couvre de baisers et de caresses. Mais tu dors, tu ne ressens pas mes caresses. Je te serre fort contre mon coeur et je m’endors avec toi. Et puis, je me réveille mais tu n’es pas là... il n’y a que mon oreiller.
Des fois, je te regarde silencieuse, comme absente. Je souffre en silence comme beaucoup de gens. Je voudrais crier que tu reviennes à moi; crier que si je vis, ce n’est que pour t’aimer. Mais tout ça passera, les souffrances ainsi que les mots, le vent les emportera.
C’est pour ça que j'arrive comme enivré d’angoisse. Je te couvre de baisers et de caresses. Mais tu dors, tu ne ressens pas mes caresses. Je te serre fort contre mon coeur et je m’endors avec toi. Et puis, je me réveille mais tu n’es pas là... il n’y a que mon oreiller.